«Les matières les plus difficiles pour moi étaient l’obstétrique, la physiologie, l’anatomie normale et topographique», dit Elmira Djabbarova, étudiante de la 6ème année de l’Institut médical, reçoit seulement les notes excellentes pendant 10 semestres

«Les matières les plus difficiles pour moi étaient l’obstétrique, la physiologie, l’anatomie normale et topographique», dit Elmira Djabbarova, étudiante de la 6ème année de l’Institut médical, reçoit seulement les notes excellentes pendant 10 semestres

C’est pendant 5 ans qu’Elmira Djabbarova reçoit seulement les notes excellentes dans l’Institut médical de RUDN. Elle réussit à être le médecin bénévole, travailler dans le syndicat, visiter les réunions de la compagnie savante des étudiants "Futurs médecins généralistes" et même faire de la danse dans le théâtre de la danse orientale "Amaren". On a parlé avec Elmira de life-hacks, jalousie et inspiration à l’occasion de la rencontre des étudiants excellents de RUDN.

Souvent la "Médecine générale" est choisie par les candidants des dynasties médicales, des lycées spécialisés ou après les "collèges médicaux". Tu as une autre histoire. Comment tu as décidé d’aller à la faculté de médecine à Moscou?

Je suis née et j’ai grandi dans une famille ordinaire à Borovitchi de la région de Novgorod qui compte environ 60000 habitants. Il y a moins de possibilités là-bas, bien sûr, que dans les grandes villes. C’était en enfance que j’ai décidé de faire mes études à Moscou. J’ai fixé mon objectif et je faisais tout mon possible pour le réaliser : j’étudiais beaucoup et participais aux concours généraux. J’aimais beaucoup la chimie et la biologie. Jusqu’à présent, je suis particulièrement reconnaissante à ma professeure de biologie Elena Borissovna Ivanova. On a gagné le concours régional de biologie et participé à l’Étape panrusse. En 2015, j’ai terminé mes études à l’école avec la médaille d’or et j’ai été inscrite à l’Institut médical de RUDN. Jusqu’à présent, je n’ai aucun regret.

Et pourquoi RUDN? Il ya beaucoup d’autres instituts médicaux en capitale.

En effet, j’ai eu beaucoup d’alternatives. Je me suis intéressée par RUDN grâce à son ambiance amicale et la diversité des cultures. Mais ma décision définitive a été prise quand j’ai su des groupes artistiques de l’Interclub. Le théâtre de la danse orientale "Amaren", il m’a tout de suite plu. Ce groupe a des performances connues, il a gagné beaucoup des prix des concours artistiques. Dès la première minute, sa cheffe Marina Oganian a su créer l’impression d’une chorégraphe exigeante mais qui aime son travail et y met tout son coeur. Le jour de la rencontre avec » Amaren " mon coeur a été donné à RUDN.

Quelles matières sont les plus difficiles à l’institut médical? Quelle est la chose la plus difficile pour toi dans les études?

Depuis 6 ans, on a étudié un nombre incroyable de matières difficiles, pourtant très intéressantes. L’une des plus difficiles était l’obstétrique qui était impossible à maîtriser sans pratique. D’ailleurs, la physiologie, l’anatomie normale et topographique exigeaient une assiduité particulière. C’est bien que " Celui qui mange les dures, mangera les mûres " a toujours été ma devise. Les connaissances ne sont pas toujours faciles à recevoir, mais si on l’objectif, qu’on veut réaliser, les études feront plaisir.

À l’école, une attitude particulière envers de bon élèves se voit souvent. Tu as quelque chose à dire à propos de l’université?

J’étais toujours jalouse de ceux qui pouvaient " se débrouiller " toujours sans apprendre la leçon. Je ne peux pas comme ça. Si je fais des tâches incorrectement ou je n’apprends complètement la leçon, j’ai des remords toujours. Accorder une grande quantité de temps aux leçons est mon habitude déjà. Parfois j’ai rencontré une attitude particulière des autres élèves et étudiants, mais je me sentais toujours à l’aise. De la part des professeurs, cela se traduisait par les exigences accrues, mais ce n’était jamais un gros problème pour moi.

Comment tu réussis à trouver le temps pour le repos? Qu’est-ce qui t’inspire? Dis-nous tes life-hacks.

Pour avoir la force de faire tout, on doit passer moins de temps au téléphone, même si ce n’est pas facile.

La danse m’aidait toujours à me décontracter, je fais la danse depuis mes 7 ans. Quand je danse, j’oublie les études et les examens. Si possible, j’aime des loisirs actifs ou pour s’apprendre : parc aquatique, quests, théâtres, musées. Si je veux un loisir calme — je dessine ou je moule de l’argile.

D’ailleurs, j’aime beaucoup des animaux ! Chez nous, on a quatre chats et un chien Dina. Ils me manquent tellement. Tous nos animaux ont été trouvés dans la rue. On n’a pas pu les laisser à l’abandon.

Quel est le rôle de tes parents dans ton aspiration à être une élève excellente?

J’ai reçu mon engagement aux études de ma mère et de ma grand-mère, à leur époque elles étaient aussi des élèves excellentes. Dès l’enfance, je visitais les cours éducatifs pour enfants. C’était grâce à mes parents qui ont su à m’apprendre à aimer et m’intéresser aux études, que j’ai pu réussir à l’école et à l’université.

Tu voudrais que tes enfants soient aussi des bons élèves?

Oui, je voudrais que mes enfants réussissent. Je vérifierai, sans doute, leurs devoirs maison et, certainement, je leur aiderai à répondre aux questions difficiles.

L’entretien a été tenu par Viktoriia Bachmakova

Vie à l’URAP
20 Apr
«Le succès est un beau code»: Alexey Maksimov, étudiant en génie logiciel à la RUDN

Qu’est-ce que le succès dans le langage de l’informatique et pourquoi un programmeur doit être créatif, explique Alexey Maksimov («Informatique appliqué» , 3e année), représentant de l’équipe de la RUDN qui figure parmi les 100 premiers participants au Championnat internationale des étudiants sur la programmation (ACM International Collegiate Programming Contest) en 2022.

Vie à l’URAP
20 Apr
«J'ai été choqué de voir que les gens se précipitaient quelque part à Moscou»: Anas Ahmed Ismail Mohammed, doctorant en sciences politiques de la RUDN

Anas Ahmed Ismail Mohammed (Soudan), doctorant à la Faculté des sciences humaines et sociales explique dans son interview comment les langues vous aident dans votre carrière et pourquoi les œuvres de Dostoïevski décrivent le mieux la langue russe.

Vie à l’URAP
20 Apr
«J’ai écrit à 15 éditions avant que mon premier roman aît été publié»: Cristina Demiantchiuc, linguiste et jeune écrivaine

Publier son premier roman à 16 ans, se lier d’amitié avec un réseau neuronal et écrire un roman sur les esclavagistes extraterrestres... Christina Demyantchuk, étudiante en première année à la faculté de philologie de l’Université de l’amitié des peuples de Russie raconte comment son chemin dans la littérature a commencé et si les machines l’emporteront sur l’homme.