La recherche des mécanismes de contrôle efficace et d’adaptation des migrants: Angéla Dolgikova, vice-recteur de l’Université RUDN évoque les modifications apportées au contenu de l’examen pour les migrants arrivant en Russie.
C’est sous l’égide de Bokova Ludmila N., premier vice-président du Comité du Conseil pour la législation constitutionnelle et la construction de l’état de la Fédération de Russie qu’une plate-forme interdépartementale fut créée pour permettre une discussion en rapport avec l’organisation de l’examen complexe de langue russe pour les migrants arrivant en Russie.
Ludmila Bokova a souligné qu’un ensemble de questionnaires a été mis au point et une infrastructure assez développée a été mise en place dans le cadre du projet de l’organisation de l’examen complexe. Aujourd’hui plus de mille organisations d’état et du secteur privé se chargent de tenir l’examen du russe, dans certaines régions il y a des centres de migrations. Plus de 1,5 million de candidats ont passé l’examen en 2018 en vue d’obtenir le brevet ou le titre de séjour temporaire ou à vie. 270 mille personnes ont obtenu la citoyenneté russe et une partie des citoyens ont également passé l’examen.
Mme Bokova a également mis en valeur le fait que le système étant établi, les normes juridiques restent à travailler. Il faut mettre en ordre le processus-même de l’examen et penser aux critères de sélection des organisations qui s’en chargent. Il est important d’intensifier le contrôle d’état, introduire les mesurer de surveillance dans les
organisations privées. L’importance de l’espace de la langue, c’est -à-dire la possibilité de l’apprendre et de se préparer à l’examen a également été soulignée.
Mme Dolgikova s’est exprimée au sujet de la loi fédérale: «Le projet de la loi mis au point en 2019 par le Ministère de l’éducation et de la science se voit comme le mieux pensé par rapport aux autres versions élaborées pendant les 5 années de l’introduction de l’examen. Pourtant cette dernière édition reste à être mise au niveau surtout dans ce qui concerne le contrôle et la surveillance. Il faut aussi évoquer le problème de certaines catégories qui devraient ne pas être soumises à l’examen, par exemple les candidats ayant un handicap quelconque.
Kazakova Irina, directrice du Département principal pour la migration près le Ministère de l’Intérieur de Russie a approuvé le projet de la loi en mettant en valeur la nécessité de se concentrer sur la possibilité accordée aux établiseements d’enseignement d’accueillir l’examen.
A l’issue de la table ronde les recommandations ont été rédigées à l’attention du gouvernement. Les articles qui sanctionneraient la nécessité de passer l’examen en langue russe, histoire et législation par les citoyens ayant un handical de 1ere catégorie seront mis à la discussion et complèteront le texte de la loi.
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